Il regarde fièrement ces créatures dont ils prennent soin depuis leur état de petits oeufs orange. Ils commencent à ressembler à des poissons, pense-t-il fièrement en replaçant le couvercle.
Il jette un regard sur la porte en soupirant. Il arrose les plantes en levant régulièrement les yeux pour regarder l’horloge. Le soleil apparaît entre les nuages, mais l’humeur du garçon s’assombrit lorsqu’il se rappelle pour la centième fois les événements du jour précédent. Il entend encore son équipe crier : « Max ! Max ! » Il se souvient encore jusqu’à quel point les acclamations de l’équipe l’ont terrifié : « Cours ! Cours ! » Il a été incapable de repérer la balle… Ses coéquipiers lui ont tourné le dos.
Si seulement je n’étais pas si maladroit, se dit Maximilien en remplissant son arrosoir.